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22èmes Rencontres des Cinémas d'Amérique Latine de Toulouse (17 au 30 mars)

22èmes Rencontres des Cinémas d'Amérique Latine de Toulouse (17 au 30 mars)

Pour de plus amples informations > Le site de l'ARCALT

Liverpool de Lisandro Alonso - Espagne, Argentine 2008 - Int : Juan Fernandez, Giselle Irrazabal, Nieves Cabrera... VOST - 1h28
Au milieu de l'océan Atlantique, Farrel demande au capitaine du cargo sur lequel il travaille l'autorisation de descendre à terre : il veut se rendre là où il est né pour savoir si sa mère respire encore. Farrel a travaillé comme marin les vingt dernières années de sa vie. Il s'est soûlé à en rouler par terre et a toujours payé les femmes qu'il a eues. Il ne s'est fait aucun ami. Une fois parvenu au hameau enneigé où il a vécu ses premières années, il découvre que sa mère vit toujours mais également que la famille compte une personne de plus.
"Aller tout au bout. De l'argentine. Du continent. Du cinéma. Du cinéma chimiquement pur, pourrait-on dire, film radical, fier et droit." Le Monde


Huacho de Alejandro Fernández Almendras - Allemagne, Chili, France 2009 - Int : Clemira Aguayo, Alejandra Yáñez, Cornelio Villagrán ... - VOST - 1h29
Une longue journée à la fin de l'été, quatre membres d'une famille paysanne du sud du Chili ont du mal à s'adapter au monde toujours changeant qui les entoure. Un monde nouveau, globalisé où les frontières entre tradition et modernité s'effacent et où les valeurs se transforment rapidement...
"De l'humanité de son approche, des nuances des plans, souvent très serrés, se dégage une vraie poésie. La subtile radicalité politique de ce film laisse entrevoir un talent très prometteur. la subtile radicalité politique de ce film (...) laisse entrevoir un talent très prometteur." Les Inrockuptibles

Padre Nuestro de Christopher Zalla - Argentine, Etats-Unis 2007 - Int : Jesus Ochoa, Armando Hernández, Jorge Adrián Espíndola... VOST - 1h50
Juan et Pedro, deux jeunes Mexicains, cherchent à émigrer clandestinement à New York. Pedro pense y retrouver son père, Diego, qu'il croît propriétaire d'un grand restaurant. Il garde précieusement sur lui une lettre de sa mère, avec l'adresse de Diego. Mais pendant le voyage, Juan lui vole la lettre et décide d'usurper son identité. Se faisant passer pour son fils, il se présente à Diego, et découvre alors que celui-ci n'est qu'un pauvre plongeur qui amasse le plus d'argent possible pour, un jour, rentrer au Mexique...
"Vif, rageur, caméra sur l'épaule et sans complaisances visuelles ni misérabilistes, Christopher Zalla filme son histoire comme un thriller." Les Inrockuptibles

La Nana Prix du meilleur film étranger au festival de Sundance 2009
de Sebastián Silva - Chili 2009 - Int : Catalina Saavedra ... – 1h35 - VOST
Raquel fête son anniversaire chez ses employeurs où elle travaille comme bonne à tout faire depuis plus de vingt ans. Lorsque sa patronne lui annonce l’arrivée de Mercedes qui doit l’aider dans ses tâches, Raquel le prend très mal et commence à exercer une pression psychologique néfaste sur son entourage...
"Le Chilien Sebastian Silva signe ici un très beau portrait de femme au bord du précipice. (...) Catalina Saaverda (...) est magistrale." Libération

El Cuerno de la Abundancia Prix à Lima, Cartagena, la Havane, Mar del Plata 2009
de Juan Carlos Tabio - Espagne, Cuba 2008 - Int : Paula Ali, Laura de la Uz, Jorge Perrugorria... VOST - 1h57
Dans un village cubain, une nouvelle se répand comme une trainée de poudre : tous ceux qui portent le nom de Castiñeiras recevront un héritage juteux que des religieuses ont déposé dans une banque anglaise au XVIIIème siècle. Tous les Castiñeiras commencent à faire les démarches pour toucher leur part, mais ils rencontreront beaucoup
d'obstacles sur leur chemin...
"Une comédie fraîche et légère, hautement sympathique cocasse et réjouissante, qui a rempoté de nombreux prix." Télérama

La Vida loca Documentaire de Christian Poveda - Mexique, Salvador, Colombie, Espagne, 2008 - 1h30 - VOST
La sortie de ce film est endeuillée par la mort de son auteur. Le photoreporter et documentariste Christian Poveda, 53 ans, a été assassiné le 2 septembre dernier, abattu de quatre balles dans la tête sur une route aunord de San Salvador, à cause de ces images qu’il avait filmées dans l’enfer des gangs de la capitale d’Amérique centrale, et qui dérangeaient… Durant deux ans, dans la misère des bidonvilles, Christian Poveda a filmé cette guerre des gangs qui sème la terreur dans le pays et aux alentours...
"Expérience de cinéma direct, documentaire sur la solitude humaine absolue de ces enragés qui, disait Poveda, souffrent, nous défient, nous toisent, nous en veulent et haïssent la société." Le Monde

Amorosa soledad Prix du jeune public au festival de San Sebastian 2008
de Martin Carranza, Victoria Galardi - Argentine 2008 - Int : Inés Efron, Nicolas Pauls, Fabian Vena ... - 1h16 - VOST
Suite à une rupture, Soledad décide de rester seule pendant 3 ans afin d'éviter un autre déboire amoureux. Dès lors, tout contredit son projet. Pour Soledad, hypocondriaque, rien n'est simple, jamais : nouvelle rencontre, retour de "l'ex", relations avec ses proches...
"Cette comédie romantique et initiatique est un délicieux instant d`élégance discrète et de charme enjôleur." Télérama

Vil Romance > Samedi 20 mars à 22h15 : en présence de Jacques Baran, responsable du festival LGBT de Toulouse
de José Celestino Campusano - Argentine 2008 - Int : Nehuen Zapata, Oscar Génova, Marisa Pajaro ... - 1h43 - VOST
Roberto vit avec sa mère et sa soeur dans la banlieue de Buenos Aires. Il passe ses journées à flâner autour de la maison de famille et finit par rencontrer Raúl, un homme de la cinquantaine qui l'invite rapidement chez lui. Une fois là-bas, ils ont une relation d'une intensité que Roberto n'a jamais connue. Il finit par s'installer chez Raúl, mais les absences répétées de ce dernier mènent Roberto à développer une liaison ponctuelle extérieure. Incapable de lui pardonner, Raúl devient de plus en plus agressif...
"Le film de José Celestino Campusano (...) emporte le spectateur dans une sorte de fascination voyageuse." L'Humanité

Parque Vía > Dimanche 21 à 20h : en présence d'Ignacio Durán, attachée culturel à l'Ambassade de Londres
de Enrique Rivero (II) - Mexique 2008 - Int : Nolberto Coria, Nancy Orozco, Tesalia Huerta ... - 1h26 - VOST Léopard d'Or Locarno 2008
Beto est le gardien d'une maison à Mexico, restée vide depuis plusieurs années, dans laquelle il a longtemps travaillé comme domestique. La solitude des dix dernières années, la monotonie et la routine de son travail l'ont incité à mener une vie recluse, qui pourrait sembler étouffante, mais lui fournit un environnement sûr et stable,
contrairement au monde extérieur menaçant...
"Parque Via se rattache à l'univers de ce jeune cinéma mexicain bourré de talent et de promesses, marqué par sa noirceur, ses préoccupations sociales, et sa rage." Le Monde

A Deriva de Heitor Dhalia - Brésil 2008 - Int : Vincent Cassel, Debora Bloch, Laura Neiva ... - 1h41 - VOST
Filipa, 14 ans, passe l'été avec sa famille à Buzios, à côté de Rio de Janeiro (Brésil). Ces vacances seront le théâtre d'un passage douloureux à l'âge adulte et de sa première initiation à l'amour. Filipa découvre avec peine l'infidélité de son père, un romancier célèbre qui trompe sa mère avec une belle Américaine vivant près du petit village côtier. Mais cet événement n'est que le premier d'une longue série de réalisations à la fois douloureuses et enchanteresses que Filipa va être amenée à faire sur sa famille et sur elle-même...
"Un film d'une grande sensualité. Une mise en scène délicieusement rétro qui sublime les comédiens." Libération

Tetro de Francis Ford Coppola – Argentine 2009 - Int : Vincent Gallo, Alden Ehrenreich, Maribel Verdu – 2h07 - VOST
Tetro est un homme sans passé. Il y a dix ans, il a rompu tout lien avec sa famille pour s'exiler en Argentine. A l'aube de ses 18 ans, Bennie, son frère cadet, part le retrouver à Buenos Aires. Entre les deux frères, l'ombre d'un père despotique, illustre chef d'orchestre, continue de planer et de les opposer...
"Avec Tetro, Coppola retrouve une ampleur perdue depuis Le Parrain 3. Le maestro, jadis réputé pour ses accès de mégalomanie et ses projets grandioses, revient vers le cinéma intimiste de ses débuts. Film d'une liberté absolue, film de maître, magnifique." Les Cahiers du cinéma


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