La Havane, 1995. Au plus fort de l’embargo américain, les Cubains traversent une crise économique sans précédent. Parmi eux, Candelaria et Victor Hugo vivent de bric et de broc jusqu’au jour où Candelaria rentre à la maison avec une petite trouvaille...
Une finesse d'écriture qui se retrouve dans la peinture de caractères des deux héros et dans celle d'un receleur machiavélique régnant sur le marché noir local. Cela ajoute à la fable coquine un appréciable sous-texte politique. Le Nouvel Observateur