Sous le soleil de Sicile, Oscar récupère de la ferraille avec son père. A l’autre bout de la ville, Stanley le Nigérian vivote grâce aux petits travaux donnés par le prêtre de la paroisse.Tous deux ont le même désir, celui d’une vie meilleure…
Le résultat est passionnant : grande maîtrise de l’image, rapports entre un paysage sublime et une misère humiliante, plongée dans l’univers des migrants et, en sourdine, présence d’une chrétienté lancinante. Le Nouvel Observateur