Phil s’est exilé dans une petite communauté presbytérienne sur l'Île de Lewis, au nord de l'Ecosse. Une nuit, il est victime d'une attaque qui lui fait perdre la mémoire. De retour sur l’ile, il retrouve Millie, une femme de la communauté qui s'occupe de lui.
Il y a, dans « l’Ombre d’un mensonge », un élan romantique, une petite musique aigre et délicate. Il y a le plaisir, purement cinématographique, de regarder monter en un ciel ignoré, du fond de l’océan, des étoiles nouvelles. Le Nouvel Observateur